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Plages : nouvelle vague d’investissements

La capitale libanaise a toujours accueilli des plages. Le Saint-Simon, établissement emblématique, a fermé ses portes au début de la guerre. Le Saint-Georges, un hôtel situé à Aïn el-Mreissé, a ouvert dans les années 1930 et a rouvert au début des années 2000. Les Libanais ont également toujours fréquenté la fameuse plage publique de Ramlet el-Baïda, surnommée “Saint-Balesh”, car gratuite. Plusieurs établissements ont été construits depuis la fin de la guerre, comme le Mövenpick Hotel and Resort ou le Riviera Beach Hotel. Les plages de Beyrouth sont donc principalement des hôtels ou des complexes qui disposent de piscines et/ou d’accès à la mer. Du fait de l’urbanisation, il reste peu de possibilités d’aménagement du littoral, particulièrement à Ras Beyrouth, où se concentrent la plupart des établissements. Un seul projet doit voir le jour, le Summerland  Kempinski. Actuellement en construction à Jnah, il doit ouvrir en 2013 et comportera un hôtel de 151 chambres et 45 appartements, ainsi que deux piscines.

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