L’indice évaluant l’activité commerciale de détail, calculé par l’Association des commerçants de Beyrouth (ACB) et le Groupe Fransabank, a atteint 99,97 points au troisième trimestre de 2012.
L’activité commerciale a enregistré une baisse significative de 8,5% par rapport à la même période en 2011 en prenant en compte le taux d’inflation calculé par l’Administration centrale de la statistique (ACS) pour cette période et qui s’est établit à 10,3%.
Cette chute brutale est notamment due à l’instabilité politique locale, aux conflits régionaux et à l’absence de touristes.
Ainsi, les dépenses pour les vêtements ont chuté de 20% au troisième trimestre 2012 par rapport à la même période un an plus tôt, celles consacrées à l’éducation de 18%, aux boissons alcoolisées de 17% et à la nourriture de 6,6%.
Les dépenses pour les meubles et la décoration ont chuté de 38% alors que celles consacrées aux produits électroniques de 19%.
Le rapport de l’ACB et de la Fransabank souligne ainsi les mesures d’austérité appliquées par les Libanais dans tous les domaines.
L’indice est fondé sur des recherches scientifiques sur les micro et macroéconomies, ainsi que sur des études sectorielles qui n’étaient pas disponibles à ce jour d’une manière intégrale sur le marché, et qui restent pratiquement inexistantes pour certains secteurs et prend pour référence l'indice 100 enregistré au quatrième trimestre de 2011.
L’activité commerciale a enregistré une baisse significative de 8,5% par rapport à la même période en 2011 en prenant en compte le taux d’inflation calculé par l’Administration centrale de la statistique (ACS) pour cette période et qui s’est établit à 10,3%.
Cette chute brutale est notamment due à l’instabilité politique locale, aux conflits régionaux et à l’absence de touristes.
Ainsi, les dépenses pour les vêtements ont chuté de 20% au troisième trimestre 2012 par rapport à la même période un an plus tôt, celles consacrées à l’éducation de 18%, aux boissons alcoolisées de 17% et à la nourriture de 6,6%.
Les dépenses pour les meubles et la décoration ont chuté de 38% alors que celles consacrées aux produits électroniques de 19%.
Le rapport de l’ACB et de la Fransabank souligne ainsi les mesures d’austérité appliquées par les Libanais dans tous les domaines.
L’indice est fondé sur des recherches scientifiques sur les micro et macroéconomies, ainsi que sur des études sectorielles qui n’étaient pas disponibles à ce jour d’une manière intégrale sur le marché, et qui restent pratiquement inexistantes pour certains secteurs et prend pour référence l'indice 100 enregistré au quatrième trimestre de 2011.
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