Le Liban gagne 4 places dans le classement mondial des pays à risque selon l’évaluation trimestrielle publiée dans le mensuel Euromoney. 95e sur 184 pays considérés, le Liban affiche un score inférieur à la moyenne enregistrée par les pays du Conseil de coopération du Golfe (66,78 points) et à la moyenne régionale (42,97).
Comparé au score du 4e trimestre 2012 (36,75 points) celui du 1er trimestre 2013 (38,45 points) enregistre une augmentation de 4,6%. Marqué par une amélioration trimestrielle depuis 2012, ce score reste nettement inférieur à celui du 4e trimestre 2011 qui s’élève à 42,67 points, enregistrant une baisse de 10%.
Le système de notation tient compte de 6 indicateurs pondérés : les risques politiques, les performances économiques (pondérés à hauteur de 30%), l’accès aux financements des banques et aux marchés de capitaux, les indicateurs de la dette, les notations de crédits et évaluation structurelle (10%). Considérés séparément, ces critères permettent de détailler le score du Liban. En un trimestre, le Liban recule à l’échelle globale en termes de risques politiques (recul de 6 places), performances économiques (2 places) et de notations de crédits et évaluation structurelle (5 places). Contrairement aux indicateurs de la dette qui sont constants, l’accès aux financements des banques et aux marchés de capitaux s’est nettement amélioré (avancée de 33 places).
L’évolution de cette notation a une incidence sur les conditions d’accès aux marchés des capitaux et leurs activités en matière d’investissement direct.
Comparé au score du 4e trimestre 2012 (36,75 points) celui du 1er trimestre 2013 (38,45 points) enregistre une augmentation de 4,6%. Marqué par une amélioration trimestrielle depuis 2012, ce score reste nettement inférieur à celui du 4e trimestre 2011 qui s’élève à 42,67 points, enregistrant une baisse de 10%.
Le système de notation tient compte de 6 indicateurs pondérés : les risques politiques, les performances économiques (pondérés à hauteur de 30%), l’accès aux financements des banques et aux marchés de capitaux, les indicateurs de la dette, les notations de crédits et évaluation structurelle (10%). Considérés séparément, ces critères permettent de détailler le score du Liban. En un trimestre, le Liban recule à l’échelle globale en termes de risques politiques (recul de 6 places), performances économiques (2 places) et de notations de crédits et évaluation structurelle (5 places). Contrairement aux indicateurs de la dette qui sont constants, l’accès aux financements des banques et aux marchés de capitaux s’est nettement amélioré (avancée de 33 places).
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