Le mohafez de Beyrouth, Ziad Chbib, a annoncé le 19 novembre la fermeture de l’abattoir de Beyrouth « pour réhabilitation ».
Une décision qui fait suite à des analyses réalisées dans des restaurants et des boucheries s’approvisionnant dans cet abattoir, dont les résultats se sont révélés particulièrement alarmants en matière d’hygiène, selon les déclarations du ministre de la Santé Waël Bou Faour.
Cet abattoir faisait déjà depuis plusieurs années l’objet de pétitions pour sa fermeture, notamment de la part d’associations de défense des animaux ou d’associations dénonçant les conditions d’hygiène. Le ministère de la Santé a confirmé ces accusations en annonçant que la viande, provenant de cet abattoir était contaminée à cause des conditions d’abattage des animaux qui ne répondent pas aux normes.
Cette décision laisse cependant entière la question de l’emplacement de l’abattoir, actuellement situé à la Quarantaine. Le mohafez a demandé à la municipalité de Beyrouth de trouver un nouvel espace susceptible d’accueillir un nouvel abattoir plus moderne, mais un projet de réhabilitation sur place est également envisagé.
En attendant, selon Maarouf Bekdache, président du Syndicat des bouchers et de l’Union des commerçants de bétail, les commerçants devront s’approvisionner auprès de plus petits abattoirs.
Une décision qui fait suite à des analyses réalisées dans des restaurants et des boucheries s’approvisionnant dans cet abattoir, dont les résultats se sont révélés particulièrement alarmants en matière d’hygiène, selon les déclarations du ministre de la Santé Waël Bou Faour.
Cet abattoir faisait déjà depuis plusieurs années l’objet de pétitions pour sa fermeture, notamment de la part d’associations de défense des animaux ou d’associations dénonçant les conditions d’hygiène. Le ministère de la Santé a confirmé ces accusations en annonçant que la viande, provenant de cet abattoir était contaminée à cause des conditions d’abattage des animaux qui ne répondent pas aux normes.
Cette décision laisse cependant entière la question de l’emplacement de l’abattoir, actuellement situé à la Quarantaine. Le mohafez a demandé à la municipalité de Beyrouth de trouver un nouvel espace susceptible d’accueillir un nouvel abattoir plus moderne, mais un projet de réhabilitation sur place est également envisagé.
En attendant, selon Maarouf Bekdache, président du Syndicat des bouchers et de l’Union des commerçants de bétail, les commerçants devront s’approvisionner auprès de plus petits abattoirs.
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