Merhi Abou Merhi a nié toute activité criminelle au profit du Hezbollah au cours d’une conférence de presse organisée le vendredi 9 octobre. L'homme d'affaires a également annoncé avoir engagé des avocats au Liban et aux Etats-Unis afin de poursuivre les diffuseurs de ces allégations. Ce démenti fait suite au gel des avoirs d'Abou Merhi par le département américain du trésor : l’administration américaine l’accusant d’implication dans un trafic de drogues et de blanchiment d’argent au profit du parti chiite libanais en collaboration avec le Libano-Colombien Ayman Jomaa.