Selon le cabinet de conseil Ernst & Young, le taux d'occupation moyen des hôtels de Beyrouth s'est établi à 54 % au premier trimestre, en baisse d'un point par rapport à la même période un an plus tôt. Un score qui place le Liban en bas du classement des 14 villes arabes prises en compte dans l'enquête et dont la moyenne des taux d'occupation s'est élevée à 64,6 % sur les trois premiers mois de l’année. Au niveau régional, les hôtels beyrouthins ont toutefois fait mieux que ceux de Koweït City (42 %), de Amman (48 %) et de La Mecque (52 %).
 
Le tarif moyen par chambre a atteint 139 dollars, en baisse de 16,4 % en glissement annuel, soit l'un des tarifs les moins élevés des 14 villes inclues dans l'enquête, devant Le Caire (116 dollars). Les revenus moyens par chambre disponible ont enfin atteint 75 dollars, contre 91 dollars sur la même période un an plus tôt.