Dans son dernier rapport, publié le 14 juillet, l’agence de notation financière Fitch a dégradé d’un cran supplémentaire la note du Liban qui passe de B à B-.

Si le secteur bancaire libanais parvient toujours à attirer suffisamment de dépôts pour financer l’emprunt public, l’impact de la guerre en Syrie sur la politique libanaise, l’absence de réformes fiscales et des performances économiques en berne ont largement contribué à la dégradation de la note libanaise, assure l’agence.

En 2015, la dette publique libanaise s’élevait à 136,7 % du PIB.