À presque 18h, Badaro commence à vibrer d’un staccato urbain : des hommes, des femmes sortent des bureaux alentour, pour un instant de détente, un café entre collègues, un jus de gingembre entre amis, voire un premier cocktail en bande. C’est du moins l’inspiration de Marc Dibeh, qui imagine dans cette nouvelle collection “Badaro, rue du Musée 17h50”, un monde de travail et de détente. Présentés à la galerie parisienne S. Bensimon, ces meubles – un bureau, un fauteuil, une table basse et un tabouret – jouent la simplicité, avec un clin d’œil aux années 1950. À base de palissandre et de cuir italien, ils créent une sorte de cocon, un aparté où réfléchir, et rêver tout en continuant à regarder ce Badaro brouillant et stimulant.
Fauteuil, 3 700 euros,
www.gallerybensimon.com/fr