Depuis quelques années, des pays ou des organisations mis au ban des nations prétendent contrer les sanctions internationales grâce à l’utilisation de cryptomonnaies. C’est le cas de l’Iran et de la Russie, qui ont fait du développement de leur monnaie virtuelle une priorité. Mais l’objectif semble bien plus compliqué qu’il n’y paraît.

Dès qu’un pays se sait menacé de sanctions internationales, ses autorités annoncent vouloir avoir recours aux cryptomonnaies pour mieux les contrer.

Pur coup politique ? Probablement. Les méthodes “traditionnelles” de contournement des sanctions restent en effet jusqu’à aujourd’hui prédominantes, qu’il s’agisse de transit de cash et de personnes par des pays alliés, d’utilisation de l’euro, de coentreprises binationales, d’ouvertures de comptes bancaires à l’étranger ou de systèmes de troc sophistiqués (Special Purpose Vehicle).


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Malgré tout, de plus en plus souvent des pays se retrouvent incriminés pour avoir employé les cryptomonnaies pour mieux rester sous le radar de la communauté internationale. C’est le cas de la Russie que les autorités américaines soupçonnent d�

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