Selon la dernière étude menée par la société de conseil Gallup sur la protection sociale et les programmes d’aide dans les pays de la région MENA, 83,4% des sondés libanais considèrent que le gouvernement devrait être le principal intervenant pour aider les plus défavorisés, suivi par les organisations caritatives (8,4%), les organismes religieux (5,4%) et la famille et les amis (1%).
Toujours selon l’étude, 78% des Libanais ont confié ne pas percevoir les efforts de leur gouvernement en matière de protection sociale. Cette étude a été réalisée à la demande de la Banque mondiale (BM) pour évaluer l’efficacité de ses programmes d’aide sociale dans la région MENA.
En parallèle, l’étude a révélé que 84% des sondés libanais considèrent que les programmes d’aide sociale devraient s’adresser aux défavorisés contre 16% qui préféreraient que ces programmes s’adressent à des catégories de la population plus ciblées comme les veuves, les orphelins ou les handicapés.
Par ailleurs, toujours selon les mêmes sources, 68% des sondés libanais préfèrent un programme d’aide financière contre 32% qui opteraient pour des programmes de distribution de biens et avantages divers.
L’étude a enfin révélé que 66% des sondés libanais ont rejeté la mise en place de conditions pour l’attribution d’aide en matière de protection sociale contre 34% qui ont soutenu la mise en place de critères pour bénéficier de l’attribution de bénéfices sociaux.
Toujours selon l’étude, 78% des Libanais ont confié ne pas percevoir les efforts de leur gouvernement en matière de protection sociale. Cette étude a été réalisée à la demande de la Banque mondiale (BM) pour évaluer l’efficacité de ses programmes d’aide sociale dans la région MENA.
En parallèle, l’étude a révélé que 84% des sondés libanais considèrent que les programmes d’aide sociale devraient s’adresser aux défavorisés contre 16% qui préféreraient que ces programmes s’adressent à des catégories de la population plus ciblées comme les veuves, les orphelins ou les handicapés.
Par ailleurs, toujours selon les mêmes sources, 68% des sondés libanais préfèrent un programme d’aide financière contre 32% qui opteraient pour des programmes de distribution de biens et avantages divers.
L’étude a enfin révélé que 66% des sondés libanais ont rejeté la mise en place de conditions pour l’attribution d’aide en matière de protection sociale contre 34% qui ont soutenu la mise en place de critères pour bénéficier de l’attribution de bénéfices sociaux.


