Avec son projet d’application pour les lunettes connectées de Google, Shérif Maktabi a franchi la première étape vers un succès annoncé : faire parler de lui. Il faut dire que son idée d’utiliser les fonctions de réalité augmentée du dernier accessoire geek par excellence pour pimenter les ébats sexuels a de quoi attiser la curiosité des médias du monde entier. Le principe : proposer aux utilisateurs de se voir en pleine action à travers le regard de son partenaire, pour peu qu’il soit également équipé de l’attirail afin de transmettre lesdites images.
Baptisée Glance, l’application se déclenche à la voix pour afficher ce miroir 2.0 sur l’un des verres de l’appareil voire, si le besoin s’en faisait sentir, suggérer des positions ou enregistrer sa “performance”. Une fonction qui, bien que prévue pour s’autodétruire au bout de quelques heures, laisse présager la possibilité d’effets secondaires pour le moins gênants à une époque où les “sex-tapes” pullulent déjà sur la Toile.
D’autant que les Google Glass sont loin d’être impénétrables : la société Lookout, spécialisée dans la sécurité pour mobile, avait par exemple rendu publique une première brèche de sécurité des Google Glass à l’été dernier. De quoi freiner les ardeurs des clients potentiels, sauf si les perspectives offertes par le principe de ces regards croisés vont bien au-delà de son usage érotique.
Baptisée Glance, l’application se déclenche à la voix pour afficher ce miroir 2.0 sur l’un des verres de l’appareil voire, si le besoin s’en faisait sentir, suggérer des positions ou enregistrer sa “performance”. Une fonction qui, bien que prévue pour s’autodétruire au bout de quelques heures, laisse présager la possibilité d’effets secondaires pour le moins gênants à une époque où les “sex-tapes” pullulent déjà sur la Toile.
D’autant que les Google Glass sont loin d’être impénétrables : la société Lookout, spécialisée dans la sécurité pour mobile, avait par exemple rendu publique une première brèche de sécurité des Google Glass à l’été dernier. De quoi freiner les ardeurs des clients potentiels, sauf si les perspectives offertes par le principe de ces regards croisés vont bien au-delà de son usage érotique.


