Le ministère de l’Économie a annoncé, début juin, le lancement officiel d’une nouvelle plate-forme associative chargée d’enregistrer et de gérer les noms de domaine comportant les extensions : “.lb”. Baptisée Linc (“Lebanese Internet Center”), cette association à but non lucratif regroupe une dizaine de membres fondateurs représentant des administrations publiques, des agents économiques et des composantes de la société civile. Cette gestion est pour l’instant assurée par le registre libanais des noms de domaine (LBDR), administré par Nabil Bukhalid, ancien directeur des technologies de l’AUB, qui a été nommé directeur général de la nouvelle structure.
Soumis à un certain nombre d’étapes administratives, ce passage de témoin soulève par ailleurs un certain nombre de questions comme la création future d’une nouvelle extension en arabe ou l’apparition de registraires commercialisant certains DNS, jusque-là gratuits au Liban, comme c’est le cas dans la plupart des pays.
Soumis à un certain nombre d’étapes administratives, ce passage de témoin soulève par ailleurs un certain nombre de questions comme la création future d’une nouvelle extension en arabe ou l’apparition de registraires commercialisant certains DNS, jusque-là gratuits au Liban, comme c’est le cas dans la plupart des pays.


