
Le ministre sortant de l’Energie et de l’Eau, Gebran Bassil, a souligné l’urgence de la réhabilitation et de l’entretien de la centrale d’électricité de Zouk lors d'une visite sur le site. « Faute d'entretien, c'est une bombe à retardement », a-t-il affirmé, attribuant ce manque d’entretien à la baisse de l'effectif des salariés. En l'espace de 20 ans, le nombre d'employés est passé de 391 à 150 aujourd'hui, a-t-il ainsi rappelé.
La réhabilitation de la centrale de Zouk nécessite, selon le ministre, un arrêt partiel de la production pour une période de 9 à 12 mois. Avec pour conséquence, une augmentation du rationnement de cinq heures par jour pendant la période des travaux.