SouthBIC (South Business Innovation Center) est une pépinière d’entreprises, créée en 2007. Son but est d'aider les start-up et les micros ou petites et moyennes entreprises (MPME), présente dans la région sud, à atteindre une taille critique. L'incubateur leur offre ressources techniques, administratives et logistiques.
Déjà basé à Saïda et à Nabatiyé, SouthBIC s’étend aujourd’hui à la région de Tyr : l’institut vient en effet de signer avec la Fédération des municipalités de Tyr (qui en compte 60) pour ouvrir un nouvel espace dans le sud.
« SouthBic apporte conseils et logistique aux entrepreneurs pour les aider à surmonter les obstacles à la création d’entreprise. Notre structure aide également des entreprises plus avancées dans leur développement, qui ont cependant toujours besoin d’un appui », explique Andraos Bacha, responsable de SouthBic.
SouthBIC a traité 45 dossiers depuis son lancement en 2007. Seules 18 entreprises ont toutefois été retenues pour être suivies - voire hébergées - par ses services. Parmi elles, 50 % opèrent dans le secteur agro-alimentaire ; 35% dans l’industrie manufacturière ; le reste dans le secteur tertiaire.
« Les entreprises nous rétribuent en fonction de leurs revenus. Comme ce sont souvent de jeunes pousses, leur contribution est souvent symbolique. Elle ne dépasse en tous les cas, 20 % de leurs rentrées financières. »
Derrière SouthBIC se trouvent trois partenaires : la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Saïda et du Sud du Liban (CCIAS), la municipalité de Saïda ainsi que de la Fondation Hariri.
Financé par l’Union européenne, dans le cadre d’un programme d’appui aux PME, géré par le ministère de l’Economie libanais, SouthBIC bénéficie d’un budget annuel de 400 000 euros.
Pour faire connaître ses services dans la région Tyr, SouthBIC prévoit de mettre en place un programme de sensibilisation ainsi que des ateliers de travail à destination des entreprises de la région.
« Ces programmes ont pour but de sensibiliser au moins 50 entrepreneurs potentiels, en particulier dans les zones rurales, où les structures d’aides aux entreprises sont peu présentes. Nous avons aussi l'intention de signer des accords avec d'autres municipalités du Sud ainsi que des universités », précise encore Andraos Bacha de SouthBIC.
Déjà basé à Saïda et à Nabatiyé, SouthBIC s’étend aujourd’hui à la région de Tyr : l’institut vient en effet de signer avec la Fédération des municipalités de Tyr (qui en compte 60) pour ouvrir un nouvel espace dans le sud.
« SouthBic apporte conseils et logistique aux entrepreneurs pour les aider à surmonter les obstacles à la création d’entreprise. Notre structure aide également des entreprises plus avancées dans leur développement, qui ont cependant toujours besoin d’un appui », explique Andraos Bacha, responsable de SouthBic.
SouthBIC a traité 45 dossiers depuis son lancement en 2007. Seules 18 entreprises ont toutefois été retenues pour être suivies - voire hébergées - par ses services. Parmi elles, 50 % opèrent dans le secteur agro-alimentaire ; 35% dans l’industrie manufacturière ; le reste dans le secteur tertiaire.
« Les entreprises nous rétribuent en fonction de leurs revenus. Comme ce sont souvent de jeunes pousses, leur contribution est souvent symbolique. Elle ne dépasse en tous les cas, 20 % de leurs rentrées financières. »
Derrière SouthBIC se trouvent trois partenaires : la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Saïda et du Sud du Liban (CCIAS), la municipalité de Saïda ainsi que de la Fondation Hariri.
Financé par l’Union européenne, dans le cadre d’un programme d’appui aux PME, géré par le ministère de l’Economie libanais, SouthBIC bénéficie d’un budget annuel de 400 000 euros.
Pour faire connaître ses services dans la région Tyr, SouthBIC prévoit de mettre en place un programme de sensibilisation ainsi que des ateliers de travail à destination des entreprises de la région.
« Ces programmes ont pour but de sensibiliser au moins 50 entrepreneurs potentiels, en particulier dans les zones rurales, où les structures d’aides aux entreprises sont peu présentes. Nous avons aussi l'intention de signer des accords avec d'autres municipalités du Sud ainsi que des universités », précise encore Andraos Bacha de SouthBIC.
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