Dans son dernier rapport sur la région, Barclays Capital a résumé la situation du pays en titrant : « le Liban tourne en rond ».
La banque souligne que le Liban n’a toujours pas de gouvernement et que cela commence à peser sur l’activité économique.
Outre les divisions profondes sur la réaction à adopter face à l’acte d’accusation du Tribunal spécial pour le Liban, les troubles dans la région, notamment en Syrie, affectent aussi le niveau de risque dans le pays.
Barclays Capital a donc confirmé la recommandation faite aux investisseurs de sous pondérer la dette libanaise dans leur portefeuille.