
« En quatre mois d’activité, nous avons déjà une quinzaine de clients corporate », se félicite-t-il. L’activité sera minoritaire au Liban, même si la quinzaine de salariés restera basée à Beyrouth. « Il est plus facile de recruter des profils compétents ici », remarque Maurice Sehnaoui.
Du côté du groupe, les bénéfices ont chuté de près de 36 %, principalement à cause de la baisse de 89 % des gains sur les actifs immobilisés et de la hausse des coûts salariaux. Tous les autres résultats sont dans le vert : les dépôts et les crédits sont en hausse d’environ 8 %, avec une légère prépondérance des crédits aux entreprises par rapport aux particuliers.
Par ailleurs, le taux de dollarisation est légèrement en dessous de la moyenne sectorielle, à 62,5 % fin juin.
Actuellement, le réseau regroupe 35 agences disséminées dans le pays. La BLC Bank est également bien implantée à Chypre, où la filiale possède 19 agences.
Bénéfices nets consolidés :
15,5 millions de dollars (-35,9 %, juin 2011/juin 2012)
Actifs : 4,7 milliards de dollars (+5,4 %, de janvier à juin 2012)
Dépôts : 3,9 milliards de dollars (+8,6 %, de janvier à juin 2012)
Actifs : 4,7 milliards de dollars (+5,4 %, de janvier à juin 2012)
Dépôts : 3,9 milliards de dollars (+8,6 %, de janvier à juin 2012)