Le site du quotidien américain, The Washington Post, a consacré lundi un portrait à l’homme d’affaires libanais Fuad El-Hibri.
Né de père libanais et de mère allemande, El Hibri, a racheté en 1998 une usine publique américaine de production de vaccin contre l’anthrax qu’il a transformé en une compagnie pharmaceutique, Emergent BioSolutions, dont les bénéfices se sont élevés à 31,1 millions de dollars en 2010.
Avec un parcours diversifié, aussi bien dans le conseil que dans les télécommunications, El Hibri avait remporté en 2009 le prix Ernst and Young de l’Entrepreneur de l’année dans la catégorie Technologie pour l’État de Washington.


