Le marché libanais n’est pas favorable aux opérations de fusions et d'acquisitions, selon l’indice de maturité établi par Cass Business School. Il est classé 13ème sur 18 pays de la région MENA, avec un score de 39% seulement. La moyenne régionale s’élève à 49%, tandis que la moyenne mondiale est de 71%.
L’indice propose trois niveaux de maturité : « favorable », «transitionnel » et « émergeant ». Le Liban a été classé dans la troisième catégorie.
L’indice se base sur cinq indicateurs : les facteurs économiques, les facteurs financiers, les facteurs politiques, les facteurs de régulation, les facteurs socio-culturels et les facteurs technologiques.
Les Emirats Arabes Unis ont été classés premiers dans la région, avec un score de 70%, suivis par la Tunisie (62%) et le Qatar (60%). Les trois dernières places sont occupées par l’Algérie (29%), la Libye (29%) et le Yémen (27%).


