Le Legatum Institute a classé le Liban au 85e rang mondial et à la 7e place parmi les pays de la région MENA dans son enquête 2012 sur la prospérité dans 142 pays.
Le Liban s’était classé à la 82e place mondiale parmi 110 économies et à la 10e position régionale dans le précédent classement du Legatum Institute.
Dans le monde, le pays du Cèdre s’est ainsi classé devant le Tadjikistan, le Ghana et le Kirghizstan, mais après la Moldavie, la Namibie et le Laos. Dans l’étude, la prospérité est mesurée dans un sens global, incluant à la fois la richesse matérielle et la qualité de vie. Les résultats montrent ainsi que dans le monde, ce ne sont pas les pays enregistrant le PIB le plus élevé qui prospèrent nécessairement le plus, mais ceux où les citoyens vivent « heureux, en bonne santé et libres ».
Les données couvrent ainsi 89 variables regroupées en huit sous-indices, chacun étant identifié comme des composantes essentielles de la prospérité. Le classement final attribué aux pays étant ainsi le résultat de la moyenne des huit sous-catégories.
Concernant le sous-indice mesurant l’économie dans un pays donné, le Liban s’est classé à la 63e place mondiale et à la 6e parmi les pays de la région. Cette catégorie mesure les performances des pays dans quatre domaines essentiels liés à la prospérité que sont les politiques macroéconomiques, les attentes économiques et leur satisfaction, les bases de la croissance et l’efficacité du secteur financier. Dans le monde, le Liban s’est ainsi placé devant le Belize, le Guatemala et le Venezuela, mais après la Russie, l’Islande et l’Estonie.
D’un point de vue régional, le pays du Cèdre a devancé la Tunisie, la Syrie et l’Irak, mais est arrivé après l’Algérie, le Maroc et l’Arabie saoudite.
Dans la catégorie mesurant l’entrepreneuriat et les opportunités, le Liban est arrivé à la 74e place du classement mondial et à la 6e position parmi les pays arabes. Ce sous-indice mesure ainsi la qualité de l’environnement pour favoriser l’entrepreneuriat, la capacité d’innovation des entreprises et le niveau d’opportunités. Dans le monde, le Liban est ainsi arrivé devant les Philippines, la Géorgie et la Moldavie, mais derrière le Vietnam, le Belize et le Pérou. Dans la région, le pays du Cèdre s’est classé devant le Maroc, l’Égypte et l’Algérie, mais après la Jordanie, la Tunisie et l’Arabie saoudite.
Enfin, concernant l’indice sur la gouvernance des pays, le Liban s’est classé à la 107e place mondiale et à la 11e position parmi les pays arabes. Cette catégorie évalue la performance des pays dans les domaines de la responsabilité des gouvernements, la transparence des élections et la participation politique. En matière de gouvernance des pays, le Liban est arrivé avant la Bosnie-Herzégovine, l’Équateur et le Népal dans le monde, mais après l’Algérie et le Honduras.
Le Liban s’était classé à la 82e place mondiale parmi 110 économies et à la 10e position régionale dans le précédent classement du Legatum Institute.
Dans le monde, le pays du Cèdre s’est ainsi classé devant le Tadjikistan, le Ghana et le Kirghizstan, mais après la Moldavie, la Namibie et le Laos. Dans l’étude, la prospérité est mesurée dans un sens global, incluant à la fois la richesse matérielle et la qualité de vie. Les résultats montrent ainsi que dans le monde, ce ne sont pas les pays enregistrant le PIB le plus élevé qui prospèrent nécessairement le plus, mais ceux où les citoyens vivent « heureux, en bonne santé et libres ».
Les données couvrent ainsi 89 variables regroupées en huit sous-indices, chacun étant identifié comme des composantes essentielles de la prospérité. Le classement final attribué aux pays étant ainsi le résultat de la moyenne des huit sous-catégories.
Concernant le sous-indice mesurant l’économie dans un pays donné, le Liban s’est classé à la 63e place mondiale et à la 6e parmi les pays de la région. Cette catégorie mesure les performances des pays dans quatre domaines essentiels liés à la prospérité que sont les politiques macroéconomiques, les attentes économiques et leur satisfaction, les bases de la croissance et l’efficacité du secteur financier. Dans le monde, le Liban s’est ainsi placé devant le Belize, le Guatemala et le Venezuela, mais après la Russie, l’Islande et l’Estonie.
D’un point de vue régional, le pays du Cèdre a devancé la Tunisie, la Syrie et l’Irak, mais est arrivé après l’Algérie, le Maroc et l’Arabie saoudite.
Dans la catégorie mesurant l’entrepreneuriat et les opportunités, le Liban est arrivé à la 74e place du classement mondial et à la 6e position parmi les pays arabes. Ce sous-indice mesure ainsi la qualité de l’environnement pour favoriser l’entrepreneuriat, la capacité d’innovation des entreprises et le niveau d’opportunités. Dans le monde, le Liban est ainsi arrivé devant les Philippines, la Géorgie et la Moldavie, mais derrière le Vietnam, le Belize et le Pérou. Dans la région, le pays du Cèdre s’est classé devant le Maroc, l’Égypte et l’Algérie, mais après la Jordanie, la Tunisie et l’Arabie saoudite.
Enfin, concernant l’indice sur la gouvernance des pays, le Liban s’est classé à la 107e place mondiale et à la 11e position parmi les pays arabes. Cette catégorie évalue la performance des pays dans les domaines de la responsabilité des gouvernements, la transparence des élections et la participation politique. En matière de gouvernance des pays, le Liban est arrivé avant la Bosnie-Herzégovine, l’Équateur et le Népal dans le monde, mais après l’Algérie et le Honduras.
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