
En vertu de cette décision, allant jusqu’en 2015, le Liban exportera jusqu’à 50.000 tonnes de pommes de terre originaires des régions du Akkar et de la Békaa « introduites dans l’Union par des points d’entrée désignés, ce qui doit garantir des contrôles efficaces et une réduction du risque phytosanitaire », a souligné la Commission européenne.
L’origine des lots libanais devra être certifiée et ils seront soumis à des examens et des échantillons analysés de manière continue.