Chez les amateurs, les cravates de cette maison napolitaine figurent parmi les “must have”. Si leurs motifs sont un rien désuets (mais le désuet n’est-il point un art en soi ?), les soies que Marinella emploie ont une douceur et un grain inégalés. Plus larges que leurs consœurs anglaises, ces cravates restent introuvables à Beyrouth. Une absence qui justifie à elle seule un petit voyage en Italie. Presto !
Autour de 90 dollars.
http://www.marinellanapoli.it/it/cravatte.php