Selon le cabinet de conseil Ernst & Young, le taux d'occupation moyen des hôtels de Beyrouth s'est établi à 66 % sur les dix premiers mois, en hausse de 1,2 point par rapport à la même période en 2016. Ce score place la capitale libanaise au 7e rang parmi les 14 villes arabes prises en compte dans l'enquête et dont la moyenne de taux d'occupation s'élevait à 61,9 % fin octobre.

Le tarif moyen par chambre a connu une hausse de 8,3 % en glissement annuel pour atteindre 154 dollars sur les dix premiers mois de l'année, contre une moyenne régionale de 186,9 dollars (-3,3 %). Seuls Ras el-Khaima (151 dollars), Amman (145 dollars), Abou Dhabi (113 dollars) et Le Caire (85 dollars) proposent un tarif moyen inférieur à celui de Beyrouth. Le  revenu moyen  par chambre disponible dans la capitale libanaise s'est élevé  à 101 dollars, contre 83 dollars en moyenne durant la même période de l'année dernière.