Les pièces de Van Jadid sont fabriquées en “upcycling”.
Les pièces de Van Jadid sont fabriquées en “upcycling”.

C’est l’histoire de deux amies liées depuis les bancs de l’école Atelier Chardon Savard, à Paris. L’une, Emma Baltus, est franco-hollandaise, l’autre, Fanny Hélou, est franco-libanaise. Ensemble, les deux jeunes créatrices de mode ont décidé en 2017 de lancer leur propre marque d’accessoires de mode femme, haut de gamme, baptisée Van Jadid.

Leur première collection, lancée début octobre dans la capitale française, a dévoilé une vingtaine de pièces. « Ces accessoires textile – plastrons, manchettes, chevillières, anses de sacs… – ne sont habituellement utilisés que lors des défilés ; les commercialiser est un concept novateur », explique Fanny Hélou.

Les pièces de Van Jadid sont fabriquées en “upcycling” à partir de chutes de tissu récupérées gratuitement ou rachetées auprès de grandes marques, et vendues entre250 et 500 euros (551 dollars).Depuis Beyrouth, une créatrice de haute couture et une marque de prêt-à-porter haut de gamme installée à Achrafié ont accepté de collaborer. « Cela nous permet de bénéficier de matières de très bonne qualité, faites pour durer et de nous inscrire dans une démarche plus respectueuse de l’environnement », explique la cofondatrice de Van Jadid.

Vente en ligne sur le site www.vanjadid.com avec livraison en France et à l’étranger.