Lors de sa visite à Beyrouth le 9 novembre, le secrétaire d’État adjoint américain à l’Énergie Amos Hochstein aurait proposé de délimiter la frontière maritime entre le Liban et Israël en établissant une “ligne bleue” maritime (“ligne blanche” pour le président du Parlement Nabih Berry, très impliqué dans le dossier) semblable à celle qui fixe les frontières terrestres entre Israël et le Liban. Plusieurs facteurs jouent en faveur du déblocage de ce dossier : le contexte géopolitique favorable (accord P5+1/Iran) et la perspective de passer à l’exploitation du gaz.