Frangelico
La liqueur de noisette italienne Frangelico doit son nom à Fra Angelico, immense peintre italien de la Renaissance. L’artiste aurait imaginé cette recette qui associe alcool de noisettes distillé, herbes, chocolat et vanille. Soit un genre de “Nutella” liquide avant l’heure. Perdue, pendant des siècles, la recette aurait été redécouverte à la fin des années 1970 aux États-Unis… On l’aime pour ses notes franches de noisettes et de cacao. Malgré ses 20 °C, Frangelico reste onctueuse, sucrée et caramélisée en bouche. La liqueur, légèrement vanillée et fumée peut aussi servir en cocktails.
Supermarchés, 24 dollars.

Tia Maria
Produite en Italie, on pense pourtant aux Antilles, à la Dominique, voire à Cuba lorsqu’on la goûte. Café et vanille se marient ici de jolie manière. À base de rhum, on retrouve le côté chaleureux de cet alcool avec en plus un côté grillé et caramélisé pas déplaisant. Seule, frappée, ou en cocktail, cette jolie liqueur est une invitation à des rêves exotiques : des vacances sur une plage de sable blanc dans un hamac ou sous un cocotier…
Supermarchés, 17 dollars.

Disaronno
Les Italiens aiment l’amertume (“amarezza”), souvent l’amour (“amore”) et l’Amaretto, cette liqueur si emblématique de la Botte. Avec la marque Disaronno, une des marques leaders du marché, les amateurs d’arômes d’amande trouveront leur compte : son nez est puissant et persistant. La bouche se veut chaleureuse, mais avec 28 °C d’alcool, ce n’est guère étonnant. En revanche, les saveurs de noyaux, de sauge et d’herbes aromatiques enrobées par une finale sucrée le distinguent vraiment au palais.
Supermarchés, 20,25 dollars.