L’organisation vient de publier un rapport dans lequel elle presse les autorités de repenser le rôle et la fonction du port de Beyrouth, dont l’activité a perdu 50 % de sa productivité depuis le 4 août.

Les choses n’ont guère changé cinq mois après l’explosion du 4 août.
Les choses n’ont guère changé cinq mois après l’explosion du 4 août. Anwar Amro/AFP

«Rien de nouveau sous le soleil», déplore Rami Semaan, responsable d’une étude de la Banque mondiale datant de 2002 qui portait déjà sur la restructuration du port de Beyrouth. «On n’a pas proposé de nouvelles solutions pour contourner ou éviter les tensions qui empêchent la réforme du secteur portuaire. On s’est contenté d’un diagnostic similaire à celui que tous les chercheurs ont réalisé depuis presque 20 ans. Mais identifier les réformes à faire ne changera rien si les mêmes contraintes politiques demeurent», dit-il. 

Lire aussi : Le port de Beyrouth risque de devoir payer cher les dommages infligés

A WEEKLY EDITION CURATED AND
PERSONALIZED BY OUR EDITORIAL TEAM

SIGN UP TO OUR NEWSLETTER IN ENGLISH

More Info See Sample