Comment agrandir sa base de clients ? Comment convertir des utilisateurs potentiels en acheteurs ? C’est le principe du concept Bloooom lancé en mars par la société libanaise Bloomrangs après cinq années de travail.
« Nous souhaitons donner aux services marketing et communication des entreprises des outils faciles d’utilisation », explique Joseph Noujaim, cofondateur de la société créée à Beyrouth. L’atout de la compagnie : « Avoir su réunir sur une seule plate-forme des produits qui pris séparément existent parfois déjà. »
Au-delà de la traditionnelle base de données des entreprises qui répertorie les noms des clients et leurs coordonnées, la plate-forme utilise les réseaux sociaux et les jeux sur tablettes ou smartphones pour capter de nouveaux clients et connaître leurs préférences. « Il s’agit par exemple d’envoyer des représentants d’une société présenter leur nouveau produit dans les lieux publics afin de tester leurs réactions. » Ces données sont ensuite collectées et analysées en ligne grâce à la plate-forme Bloooom.
L’aventure commence dans un garage de Jounié en 2009. Joseph Noujaim et Georges Ghalbouni se connaissent depuis leurs études à l’université. Le premier est diplômé en informatique et ingénierie de la communication. Le deuxième en informatique. Après quelques années en Australie, Georges Ghalbouni revient au Liban riche des nouvelles tendances en technologies de l’information qu’il a pu y découvrir. Il retrouve Joseph alors salarié d’une entreprise spécialisée dans les logiciels informatiques. Ils démissionnent tous les deux, fin 2009, et créent leur entreprise grâce à la participation de leurs proches pour un capital de départ de 35 000 dollars. La SAL Bloomrangs est officiellement lancée en 2010, avec un prêt Kafalat de 160 000 dollars sur six ans. L’année dernière, la société engrange pour la première fois des profits. D’abord installée au Liban, Bloomrangs a élargi son champ d’action aux pays du Golfe. En 2013, le chiffre d’affaires de l’entreprise est de 350 000 dollars pour la branche libanaise et 100 000 dollars pour les activités basées à Dubaï. Ces dernières devraient faire jeu égal avec le Liban en 2014.
Les clients de la société sont des banques, des cinémas, des concessionnaires automobiles. Au total, Bloomrangs aide une trentaine d’entreprises à gérer près de 5 000 clients au Liban et six sociétés à Dubaï pour un portefeuille de 50 000 clients.
La plate-forme Bloomrangs est promue par des agences de publicité partenaires. Une campagne ponctuelle de recensement d’e-mails est par exemple facturée de 15 000 à 20 000 dollars. Le développement d’un système général de gestion de la clientèle d’un grand groupe peut atteindre 275 000 dollars.
« Nous souhaitons donner aux services marketing et communication des entreprises des outils faciles d’utilisation », explique Joseph Noujaim, cofondateur de la société créée à Beyrouth. L’atout de la compagnie : « Avoir su réunir sur une seule plate-forme des produits qui pris séparément existent parfois déjà. »
Au-delà de la traditionnelle base de données des entreprises qui répertorie les noms des clients et leurs coordonnées, la plate-forme utilise les réseaux sociaux et les jeux sur tablettes ou smartphones pour capter de nouveaux clients et connaître leurs préférences. « Il s’agit par exemple d’envoyer des représentants d’une société présenter leur nouveau produit dans les lieux publics afin de tester leurs réactions. » Ces données sont ensuite collectées et analysées en ligne grâce à la plate-forme Bloooom.
L’aventure commence dans un garage de Jounié en 2009. Joseph Noujaim et Georges Ghalbouni se connaissent depuis leurs études à l’université. Le premier est diplômé en informatique et ingénierie de la communication. Le deuxième en informatique. Après quelques années en Australie, Georges Ghalbouni revient au Liban riche des nouvelles tendances en technologies de l’information qu’il a pu y découvrir. Il retrouve Joseph alors salarié d’une entreprise spécialisée dans les logiciels informatiques. Ils démissionnent tous les deux, fin 2009, et créent leur entreprise grâce à la participation de leurs proches pour un capital de départ de 35 000 dollars. La SAL Bloomrangs est officiellement lancée en 2010, avec un prêt Kafalat de 160 000 dollars sur six ans. L’année dernière, la société engrange pour la première fois des profits. D’abord installée au Liban, Bloomrangs a élargi son champ d’action aux pays du Golfe. En 2013, le chiffre d’affaires de l’entreprise est de 350 000 dollars pour la branche libanaise et 100 000 dollars pour les activités basées à Dubaï. Ces dernières devraient faire jeu égal avec le Liban en 2014.
Les clients de la société sont des banques, des cinémas, des concessionnaires automobiles. Au total, Bloomrangs aide une trentaine d’entreprises à gérer près de 5 000 clients au Liban et six sociétés à Dubaï pour un portefeuille de 50 000 clients.
La plate-forme Bloomrangs est promue par des agences de publicité partenaires. Une campagne ponctuelle de recensement d’e-mails est par exemple facturée de 15 000 à 20 000 dollars. Le développement d’un système général de gestion de la clientèle d’un grand groupe peut atteindre 275 000 dollars.


